Un putain de salaud de rayon de soleil
était venu se planter dans son cul, en plein dans son trou du cul, elle dormait
sur le ventre, les jambes écartées,
putain, quel cul, mais quel cul !, je pouvais voir sa petite chatte, son
petit fourbis poilu au repos, et merde !, j’allais quand même pas laisser
un connard de rayon lumineux matinal la sodomiser, pour poétique que la scène
puisse paraître !, Barre-toi, couillon !, j’ai remplacé le rayon par
mon doigt que j’avais quand même sucé un peu avant, histoire de faciliter les
choses, elle a poussé un léger Mmm !, c’était bon, je pouvais y aller, je
sais pas, moi, mais voir ça, son cul, rondouillard, lisse, putain !, ça
c’est de l’art, et du grand, et tous les peinturlureurs de mes deux peuvent aller
se rhabiller !, bon, elle était sur le ventre, alors pour lui lécher le
nombril, pas facile, tant pis, mais qu’est-ce que j’aurais aimé remplacer mon
doigt par ma queue qui montrait une bandaison matinale des plus satisfaisantes !,
je suis allé voir du côté de sa petite chatte, c’était bon aussi, elle
mouillait ce qu’il fallait pour que j’envisage une véritable entrée en matière,
mais avant de me mettre à la travailler, un coup d’œil au rayon de soleil, Eh,
salopard dévergondé, mon trou du cul, tu le laisses tranquille !, je suis
con, je me marrais tout seul !, bon, allez, on y va, ah, merde !, la
capote, bon, je l’enfile et en avant, elle avait une petite chatte, je l’ai
déjà dit, je crois, fallait y aller avec un peu de délicatesse, et puis, pour
la sortir du sommeil, tout doux, tout doux, j’étais dedans, putain, comme c’est
bon les petites chattes, ça serre comme il faut !, ses Umm ! étaient
un peu plus sonores, un peu plus longs aussi, j’ai commencé à la tringler avec
plus de rapidité et de force, elle a remplacé ses Umm ! par des Ah !
et des Oh et, quand ça allait venir, par des Oui !, je crois qu’on a joui
ensemble, et c’était tant mieux, j’avais pas envie de la finir à la main, et
puis j’avais décidé de me mettre à bosser sur le putain d’article pour Belami, C’est quoi l’amour ?. Elle s’est
retournée, elle avait des yeux un peu humides, brillants comme un gland lustré,
elle m’a dit : Bonjour, chéri, j’aime ta manière de me réveiller !, elle
s’est collée contre moi : Je t’aime ! La journée commençait bien.
C’était la première fois qu’Hildegarde
dormait avec moi. D’habitude, j’aime pas trop ça, surtout quand il fait chaud,
c’en est même chiant, elles s’aimantent, et on a beau mettre le ventilateur à
fond, rien à faire, on sue comme une bête ! Mais bon, même si je préférais
dormir seul, un réveil comme ça, ça valait bien un petit effort ! Sacrée
isalope d’Hildegarde, elle était arrivée hier au soir complètement bourrée,
elle avait seulement dit : Allez, Charles, fais-moi des trucs cochon !
J’étais abasourdi, des trucs cochon ?, mais c’était quoi des trucs cochon
pour elle, et puis, des trucs cochon pour elle ou pour moi ?, j’étais dans
une de ces merdes ! Je l’ai allongée sur le lit, je lui ai léché le
nombril, et... Charles, la tête me tourne un peu ! qu’elle me dit. Elle
allait quand même pas dégueuler dans mon plume ! Je l’ai relevée,
direction salle de bain, la tête au-dessus des chiottes, rien, alors la tête
sous l’eau froide, elle a crié un peu, je l’essuie et au paddock, Je me sens
mieux, qu’elle me dit. Après ça, les trucs cochon... Elle s’est endormie comme
une putain de masse. Je lui ai redonné un coup de léchouille au nombril, l’ai
peloté un peu, ses petits seins, son ventre chaud, un peu les poils, un peu
plus le cul, putain de bordel de dieu, ce cul ! Allez, on se calme !
que je me suis dit. Je suis allé me servir une bière, tout était silencieux,
pas une seule bagnole, le moment idéal pour un petit peu de musique. J’ai mis
Britten, A midsummer night’s dream.
Je pensais à ces connards de branleurs qui croient que le Nirvâna on y arrive
en se bourrant de pastilles avec des lapins dessus, les cons !, cons et
ignares ! Quand elle dormait, Hildegarde savait se tenir, elle s’était
retournée dans son coin, au poil !, je me suis allongé, lui ai mis la main
sur le cul, bonne nuit, le Nirvâna...
- T’en tenais une bonne hier au
soir !
- Désolée ! Mais, tu aurais dû
voir ça ! Dhuoda avait organisé une fête chez elle, une fête
chocolat !
- Chocolat fondu ?
- Oh, oui, et puis...
- Me dis pas que tu t’es bourrée au
chocolat ?
- Pfff...
- Et alors ?
- Le chocolat, fallait le manger sur
le corps des autres, on avait écrit le nom de chacun sur des bouts de papier
et, sur d’autres bouts de papier, les parties du corps, on tirait au sort...
- Et alors, toi ?
- Victor, genou !
- Pas bien méchant !
- Non, ça allait, mais Héloïse !
- Ouais, quoi ?
- Ben... Laurent...
- Laurent quoi ?
- Ben...
- Allez, fais pas ta mijaurée,
bite ?
- Non, pire !
- Alors ?
- Testicules...
- Amusant !
- Tu sais pas ce que je lui ai
dit ?
- Bien sûr que non !
- Comment ça bien sûr que non ?
- Ben, non, évidemment que je sais pas
ce que tu lui as dit, puisque c’est toi qui le sais !
- T’es con !
- On peut pas rigoler avec toi !
Bon, alors ?
- Je lui ai dit que ça aurait plu à
Monluc !
- Elle me dit : Charles
Monluc ?, je lui réponds que oui, et elle continue : Celui qui écrit
dans TéléPlus ?, ben oui, celui
qui écrit dans TéléPlus, Tu connais
Charles Monluc ?, bien sûr que je connaissais Charles Montluc !
- Dis donc, je suis célèbre !
- Oh, t’emballe pas, TéléPlus, c’est la seule chose qu’elle
lit, alors tu comprends...
- Ouais, encore une
intellectuelle !
- Quoi ?
- Rien. Bon, mais quand même, et
alors ?
- Alors ? Ben, elle était
impressionnée, et tu sais quoi ?
- Évidemment non !
- Ne recommence pas, tu veux ?
- D’ac’ !
- Elle me demande si des fois je
pourrais pas te la présenter ?
- Et alors ?
- J’ai dit qu’on verrait, j’ai bien
fait, non ?
- Mouais. Et elle est comment ta
Laurent-testicules ?
- Euh... ben... pas trop mal.
- Quoi, t’es jalouse ? Elle est
canon, c’est ça ?
- Elle lit TéléPlus !
- Et alors, tu sais qui le dirige ton TéléPlus ? Et puis, après son coup
de Laurent-testicules, l’ambiance vin de messe, ça devrait être un peu
loin !
- Ce sont ses parents qui achètent ça,
pas elle ! Qui dirige TéléPlus ?
Non.
- Moi oui, et je peux t’assurer
qu’après ça, les lectrices, c’est de la petite bière !
- Ça veut dire quoi ?
- Rien, laisser tomber, alors
qu’est-ce tu fais, tu te barres ou on baise ?
- Tu penses vraiment qu’à ça !
- Qu’à
ça, non, mais avec toi, je sais pas ce qui se passe, je suis sentimental !
- Allez, arrête de délirer, je te
téléphone, d’accord ?
- D’ac’ ! Ciao belladonna !
Son putain de cul du tonnerre de dieu
est parti avec le reste, elle le faisait bouger avec une grâce !, putain
de merde !, c’était beau à voir, je lui en aurais bien remis un petit
coup ! Bon, Hildegarde avait raison, arrêtons de délirer, au boulot !
C’est quoi l’amour ?
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