Un putain de salaud de rayon de soleil
était venu se planter dans son cul, en plein dans son trou du cul, elle dormait
sur le ventre, les jambes écartées,
putain, quel cul, mais quel cul !, je pouvais voir sa petite chatte, son
petit fourbis poilu au repos, et merde !, j’allais quand même pas laisser
un connard de rayon lumineux matinal la sodomiser, pour poétique que la scène
puisse paraître !, Barre-toi, couillon !, j’ai remplacé le rayon par
mon doigt que j’avais quand même sucé un peu avant, histoire de faciliter les
choses, elle a poussé un léger Mmm !, c’était bon, je pouvais y aller, je
sais pas, moi, mais voir ça, son cul, rondouillard, lisse, putain !, ça
c’est de l’art, et du grand, et tous les peinturlureurs de mes deux peuvent aller
se rhabiller !, bon, elle était sur le ventre, alors pour lui lécher le
nombril, pas facile, tant pis, mais qu’est-ce que j’aurais aimé remplacer mon
doigt par ma queue qui montrait une bandaison matinale des plus satisfaisantes !,
je suis allé voir du côté de sa petite chatte, c’était bon aussi, elle
mouillait ce qu’il fallait pour que j’envisage une véritable entrée en matière,
mais avant de me mettre à la travailler, un coup d’œil au rayon de soleil, Eh,
salopard dévergondé, mon trou du cul, tu le laisses tranquille !, je suis
con, je me marrais tout seul !, bon, allez, on y va, ah, merde !, la
capote, bon, je l’enfile et en avant, elle avait une petite chatte, je l’ai
déjà dit, je crois, fallait y aller avec un peu de délicatesse, et puis, pour
la sortir du sommeil, tout doux, tout doux, j’étais dedans, putain, comme c’est
bon les petites chattes, ça serre comme il faut !, ses Umm ! étaient
un peu plus sonores, un peu plus longs aussi, j’ai commencé à la tringler avec
plus de rapidité et de force, elle a remplacé ses Umm ! par des Ah !
et des Oh et, quand ça allait venir, par des Oui !, je crois qu’on a joui
ensemble, et c’était tant mieux, j’avais pas envie de la finir à la main, et
puis j’avais décidé de me mettre à bosser sur le putain d’article pour Belami, C’est quoi l’amour ?. Elle s’est
retournée, elle avait des yeux un peu humides, brillants comme un gland lustré,
elle m’a dit : Bonjour, chéri, j’aime ta manière de me réveiller !, elle
s’est collée contre moi : Je t’aime ! La journée commençait bien.
Roman érotico-pornographico-existentiel, en clair: un truc avec du cul qui peut faire gamberger, si on veut, quoi! Un nouveau chapitre sera publié chaque semaine.
mardi 29 mai 2012
mardi 22 mai 2012
Chap. 4 : Cuculture !
Bon, mon article sur les
concentrations de Harley-Davidson n’avançait pas, je me demandais même si je
pourrais pas faire appel aux talents de María Asunción, non, fallait que je me
démerde seul ! Il était onze heures et j’avais encore rien foutu de ma
journée ! Et merde ! Allez, un disque, Zimmermann, Die Soldaten. C’est quand même
incroyable, mais à chaque fois que je veux être tranquille, y a ce putain de
téléphone qui se met à frétiller. Cette fois-ci, c’était Hildegarde, l’ignare
de la veille. Quoi ?, tu veux passer ?, d’ac’, quoi ?, un cadeau
pour moi !, bon, si tu veux, je t’attends !
mardi 15 mai 2012
Chap. 3 - Belami et Belami : les deux en font une de ces paires !
La revue de Belami était
vendue chaque semaine à deux cents cinquante mille exemplaires et proposait, en
plus des programmes télé détaillés, des articles sur des sujets de société, la vie des connards starisés du moment, des mots
croisés, des recettes de cuisine et des conseils
beauté. Il me payait bien, c’était pour ça que je ne pouvais pas l’envoyer
se faire foutre à chaque fois qu’il me suggérait
des articles bidons. Il disposait de toute une batterie de psychosociologues
qui lui indiquaient les tendances du
jour, à vrai dire, il ne jurait que par eux, et ce qu’ils disaient ne pouvait
être ni critiqué, ni remis en cause. Alors, ceux qui, comme moi, vivaient en
grande partie de Belami, adoptaient un profil bas et lui pondaient des articles
destinés à parfaire la culture de son
lectorat. Un article de fond tous les quinze jours, c’était
pas la mort ! Y avait même des fois où il nous offrait un petit voyage
afin d’aller s’informer sur place. On se barrait à deux, avec un photographe,
on s’en mettait plein la panse, on baisait tout ce qu’on pouvait attraper et on
revenait. Trois jours après, il avait son joli article de huit ou dix pages
avec photos, flambant neuf. Belami était content, nous aussi.
Belami avait deux grands
défauts : une femme frigide et son rendez-vous dominical, à dix heures
trente, pour assister à la messe. Pour le premier, j’avais pu vérifier que la
frigidité de sa femme n’était que l’incapacité de Belami à lui donner envie de
ne plus l’être. Pour le second, qu’il fallait, malheureusement pour lui, mettre
en relation directe avec le premier, je ne pouvais rien. C’était pas un mauvais
bougre, mais l’orientation de sa revue hebdomadaire côté rombières et
culs-bénits donnait la gerbe. Surtout pas de gros mots, hein, Monluc, surtout
pas de gros mots ! qu’il m’assénait à tout bout de champ. Non, mon
pote, les gros mots, je les garde pour ta femme, la prochaine fois que je la
sauterai !
mardi 8 mai 2012
Chap. 2 - Douce Hrosvitha de mes deux !
Il était tard, Hildegarde
s’était barrée, j’avais pas envie de dormir, j’avais pas plus envie de me
mettre à rédiger ce putain d’article pour la putain de revue de Belami. Et
puis, qu’est-ce que j’allais bien pouvoir raconter sur ces connards de motards
tatoués ? Allez, un petit coup de Berlioz, ça peut pas faire trop de mal, La Damnation de Faust, surtout le
deuxième acte. Je me suis resservi un Cointreau. J’étais tranquille, calme,
peinard, détendu, la queue rassasiée, tout allait bien. Ça pouvait pas durer,
sûr. Le téléphone, Hrosvitha. Et merde ! Et en colère, en plus !
- Ah, tu peux être fier de
toi !
- Viens pas me faire chier
avec tes conneries, pas maintenant. Écoute, j’étais dans un de ces moments où
l’humanité me paraissait presque supportable, et il faut que tu viennes
m’emmerder avec tes histoires.
- Et quelles histoires, s’il
te plaît ?
- Je sais pas, des
histoires, tes histoires.
- T’es un salaud, un beau
salaud, un vrai salaud.
- Moi ?
- Tu crois que je sais
rien ?
- De quoi ?
- De ta petite salope ?
- Isalope, s’il te
plaît !
- Alors, tu crois que je
sais rien, des amis bien intentionnés se sont empressés de me raconter la
soirée chez Toni.
- Et alors ?
- Et alors ! Tu me
prends pour une conne. T’es pas parti avec elle, peut-être ?
Vraiment ! Une gamine, vingt ans tout au plus ! T’es rien qu’un
salaud !
- Écoute, pourquoi tu te
mets dans des états pareils ? Elle se sentait mal, je lui ai simplement
proposé de la raccompagner chez elle, voilà tout.
- Et menteur par-dessus le
marché ! Tu sais pas mentir, t’as jamais su mentir !
- Tu m’emmerdes à la fin, on
est pas mariés que je sache, je t’ai jamais rien promis, non ?
- Oh, pour ça non, tu promets
jamais rien, rien, à personne !
- Allez !
- Non, fiche-moi la paix,
une gamine !, et elle sait sucer ?
- Voyons, calme-toi !
- Me dis pas comment je dois
être ni ce que je dois faire, t’es qu’un salaud, et quand tu me baises, c’est
quoi, hein !, c’est quoi, dis !, de la compassion ?
- Si tu commences avec tes
délires cathos, c’est moi qui raccroche, d’ac’ ?
mardi 1 mai 2012
Chap. 1 - Où Monluc se met en branle.
Putain !
Elle avait un cul, enfin une chatte, une petite chatte, de celles qu’ont jamais
vu sortir de marmot, mais qu’est-ce qu’elle était conne !, un puits de
connerie rempli d’un vide sans fond d’ignorance, mais elle baisait, ah ça
oui !, comme elle baisait !, enfin, manière de dire, c’était une
clitoridienne lente, très très lente, une demi-heure à lui trifouiller le
bouton pour qu’elle arrive à pousser deux ou trois Ah !, qu’elle resserre les
jambes et puis, c’était fini ! Patience, patience, camarade ! que je
me disais. Bon, quand même, elle taillait les pipes à merveille, une bouche douce,
soyeuse, curieusement accueillante, curieusement parce qu’elle l’avait plutôt
petite, des lèvres minces, et puis une fois dedans, l’espace, le confort, quoi !,
bien chaud, bien humide, je préférais presque ça à sa petite chatte. Avec elle,
ça pouvait durer et durer, et puis on avait beau se démener, à la fin, fallait
toujours se mettre à lui trifouiller le bouton ! Les seins aussi, petits,
très très petits, elle portait des soutiens-gorge renforcés, un petit complexe
relativement je sais pas trop quoi, et puis, rien à cirer !, je lui avais
même écrit que ses seins avaient la forme de mes paumes, faut être con parfois !
Bon, je m’en foutais et je la foutais ! Elle connaissait rien à rien, côté
cul, pas trop non plus. Un jour où je m’emmerdais à lui trifouiller le bouton,
je lui ai fiché un doigt dans le cul, elle était aux anges, elle en
redemandait, j’ai enfoncé un peu plus, ça lui plaisait, je suis descendu pour
lui bouffer la motte et j’en ai profité pour passer de la chatte au cul, elle aimait
ça l’isalope, elle en redemandait, moi ça m’excitait en diable, j’ai continué,
elle a joui et après, comme pour me remercier, elle s’est mise à me sucer, elle
y allait un peu fort, mais bon, y a des occasions comme ça où rien se refuse !,
j’ai amidonné sa collection de quenottes. Au bout de quelques secondes elle est partie aux
chiottes, elle a été cracher la purée, un instant après elle revenait, plus
douce qu’une putain de peau de pêche, tout contre moi, et merde !, j’avais
chaud, elle avait joui, non ?, qu’elle me foute la paix ! Une
clitoridienne lente, ouais, c’est un peu médical comme description, non ?,
mais c’est vrai quoi, elle tardait à jouir, et ce qu’elle aimait, c’était ça,
bouche ou doigt, qu’on lui titille le clito ! Franchement, moi, ça me dérangeait
pas trop, mais putain de bordel !, il lui en fallait du temps !
À
cette époque-là, j’avais quarante-quatre ans, Hildegarde en avait vingt-et-un.
Je l’avais rencontrée chez des hurluberlus qui, une fois par an, organisaient
une soirée où ils réunissaient les amis de leurs deux enfants et les leur. Ils
disaient que tout le monde devrait en faire autant car rien de tel pour que les
générations puissent communiquer. Communiquer? Tu parles ! Les deux clans ne buvaient,
ne mangeaient, n’écoutaient pas les mêmes choses, ils se croisaient, se
regardaient en coin, les vieux tentaient l’approche, histoire de marquer la
chose par une petite dose d’amabilité : Et toi, tu étudies ou tu
travailles ? Et plus tard, tu veux faire quoi ? Génial. On s’emmerdait
sec. Et puis, je l’ai vue... Elle était un peu à l’écart, comme moi elle semblait
s’emmerder, je me suis approché : On s’emmerde, hein ? Elle m’a
regardé comme si j’étais une putain de curiosité de foire, alors elle m’a lancé :
Tu étudies ou tu travailles ? On s’est marrés, je suis allé lui chercher
un Cointreau ananas et lui ai dit que j’habitais pas loin. D’ac’, on y
va ! qu’elle a dit.
Y
avait déjà une femme dans ma vie, Hrosvitha, une espèce de brute épaisse que
j’avais eue, un soir de solitude arrosée et qui n’avait rien trouvé de mieux
que de se mettre à m’aimer ! Ouais, aussi sec, tomber amoureuse, tomber vraiment, dans
l’abattement, la dépression, elle s’était même mise à évoquer le suicide, elle
avait même essayé : hôpital, injures de ses copines, pathétique, conneries
et compagnie. Elle avait un gros cul, des grosses cuisses, des gros seins, des
gros bras, une grande chatte, pas trop de poils (un cancer deux ou trois ans
auparavant). Quand elle montait sur moi et qu’elle commençait à se tortiller,
elle m’étouffait presque, par derrière c’était mieux, sa bouche aussi, pour ça
elle était championne, elle connaissait son affaire, et elle avalait tout, et
le jour où elle a accepté de se laisser sodomiser, pas mal non plus ! Elle
disait : On m’a jamais fait ça ! Et moi : Allez, tais-toi et
jouis ! Elle m’aimait, la conne ! Moi, rien que de la voir, j’avais
envie de gerber, mais je continuais à aller chez elle, pour la conversation et
la pipe. Elle était loin d’être conne, elle connaissait la vie quoi ! Avec
elle pas besoin de s’emmerder avec les préambules, dans le vif du sujet,
direct, et puis, c’était une clitoridienne rapide.
Un clic sur "Plus d'infos" pour lire la suite du chapitre.
Index de ce qui vous attend
Index majeur
I
II
III
IV
V
VI
VII
VIII
IX
X
XI
XII
XIII
XIV
XV
XVI
XVII
XVIII
XIX
XX
XXI
XXII XXIII
XXIV
| <><><><><><>
>
Ça moquance ! Où Monluc se met en branle.
Douce Hrosvitha de mes deux.
Belami et Belami : les deux en font
une de ces paires !
Cuculture.
De quelque ivresse et d’un putain de cul !
Où on
somme Monluc de se justifier, et merde !
La chair est faible, mais qu’est-ce que
c’est bath !
Putain
d’isalope sublime !
Hrosvitha
monte son cirque, et merde !
Eh, Néné,
vise un peu la Credoïnunumdeum !
Eh, Néné,
vise un peu la Credoïnunumdeum ! Ça s’arrête pas là...
Où les
quatrièmes prennent leur importance.
Hymne à
cette putain d’isalope sublime d’Héloïse.
Putaparc.
Quand les
anges démangent.
Ciao
belladonna !
Où ça
commence en couille et se termine en chatte.
Mais bordel
de dieu ! C’est quoi l’amour ?
De
Robinson Crusoé à un vilain petit canard.
L’amour,
ça fait mal, aussi !
La
femme : vocation de l’homme. Putain d’essai d’une théologie de la
féminité !
La foule, qui roule, me brise les boules.
La famille
et ses bijoux : gravure en taille douce.
Et pis, la
fin, quoi !
|
Inscription à :
Articles (Atom)