Putain !
Elle avait un cul, enfin une chatte, une petite chatte, de celles qu’ont jamais
vu sortir de marmot, mais qu’est-ce qu’elle était conne !, un puits de
connerie rempli d’un vide sans fond d’ignorance, mais elle baisait, ah ça
oui !, comme elle baisait !, enfin, manière de dire, c’était une
clitoridienne lente, très très lente, une demi-heure à lui trifouiller le
bouton pour qu’elle arrive à pousser deux ou trois Ah !, qu’elle resserre les
jambes et puis, c’était fini ! Patience, patience, camarade ! que je
me disais. Bon, quand même, elle taillait les pipes à merveille, une bouche douce,
soyeuse, curieusement accueillante, curieusement parce qu’elle l’avait plutôt
petite, des lèvres minces, et puis une fois dedans, l’espace, le confort, quoi !,
bien chaud, bien humide, je préférais presque ça à sa petite chatte. Avec elle,
ça pouvait durer et durer, et puis on avait beau se démener, à la fin, fallait
toujours se mettre à lui trifouiller le bouton ! Les seins aussi, petits,
très très petits, elle portait des soutiens-gorge renforcés, un petit complexe
relativement je sais pas trop quoi, et puis, rien à cirer !, je lui avais
même écrit que ses seins avaient la forme de mes paumes, faut être con parfois !
Bon, je m’en foutais et je la foutais ! Elle connaissait rien à rien, côté
cul, pas trop non plus. Un jour où je m’emmerdais à lui trifouiller le bouton,
je lui ai fiché un doigt dans le cul, elle était aux anges, elle en
redemandait, j’ai enfoncé un peu plus, ça lui plaisait, je suis descendu pour
lui bouffer la motte et j’en ai profité pour passer de la chatte au cul, elle aimait
ça l’isalope, elle en redemandait, moi ça m’excitait en diable, j’ai continué,
elle a joui et après, comme pour me remercier, elle s’est mise à me sucer, elle
y allait un peu fort, mais bon, y a des occasions comme ça où rien se refuse !,
j’ai amidonné sa collection de quenottes. Au bout de quelques secondes elle est partie aux
chiottes, elle a été cracher la purée, un instant après elle revenait, plus
douce qu’une putain de peau de pêche, tout contre moi, et merde !, j’avais
chaud, elle avait joui, non ?, qu’elle me foute la paix ! Une
clitoridienne lente, ouais, c’est un peu médical comme description, non ?,
mais c’est vrai quoi, elle tardait à jouir, et ce qu’elle aimait, c’était ça,
bouche ou doigt, qu’on lui titille le clito ! Franchement, moi, ça me dérangeait
pas trop, mais putain de bordel !, il lui en fallait du temps !
À
cette époque-là, j’avais quarante-quatre ans, Hildegarde en avait vingt-et-un.
Je l’avais rencontrée chez des hurluberlus qui, une fois par an, organisaient
une soirée où ils réunissaient les amis de leurs deux enfants et les leur. Ils
disaient que tout le monde devrait en faire autant car rien de tel pour que les
générations puissent communiquer. Communiquer? Tu parles ! Les deux clans ne buvaient,
ne mangeaient, n’écoutaient pas les mêmes choses, ils se croisaient, se
regardaient en coin, les vieux tentaient l’approche, histoire de marquer la
chose par une petite dose d’amabilité : Et toi, tu étudies ou tu
travailles ? Et plus tard, tu veux faire quoi ? Génial. On s’emmerdait
sec. Et puis, je l’ai vue... Elle était un peu à l’écart, comme moi elle semblait
s’emmerder, je me suis approché : On s’emmerde, hein ? Elle m’a
regardé comme si j’étais une putain de curiosité de foire, alors elle m’a lancé :
Tu étudies ou tu travailles ? On s’est marrés, je suis allé lui chercher
un Cointreau ananas et lui ai dit que j’habitais pas loin. D’ac’, on y
va ! qu’elle a dit.
Y
avait déjà une femme dans ma vie, Hrosvitha, une espèce de brute épaisse que
j’avais eue, un soir de solitude arrosée et qui n’avait rien trouvé de mieux
que de se mettre à m’aimer ! Ouais, aussi sec, tomber amoureuse, tomber vraiment, dans
l’abattement, la dépression, elle s’était même mise à évoquer le suicide, elle
avait même essayé : hôpital, injures de ses copines, pathétique, conneries
et compagnie. Elle avait un gros cul, des grosses cuisses, des gros seins, des
gros bras, une grande chatte, pas trop de poils (un cancer deux ou trois ans
auparavant). Quand elle montait sur moi et qu’elle commençait à se tortiller,
elle m’étouffait presque, par derrière c’était mieux, sa bouche aussi, pour ça
elle était championne, elle connaissait son affaire, et elle avalait tout, et
le jour où elle a accepté de se laisser sodomiser, pas mal non plus ! Elle
disait : On m’a jamais fait ça ! Et moi : Allez, tais-toi et
jouis ! Elle m’aimait, la conne ! Moi, rien que de la voir, j’avais
envie de gerber, mais je continuais à aller chez elle, pour la conversation et
la pipe. Elle était loin d’être conne, elle connaissait la vie quoi ! Avec
elle pas besoin de s’emmerder avec les préambules, dans le vif du sujet,
direct, et puis, c’était une clitoridienne rapide.
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Je suis un sentimental,
c’est presque plus fort que moi, avant d’enfourcher une femme, il faut
absolument que je lui lèche le nombril ! Quand je suis arrivé chez moi
avec Hildegarde, elle a tout de suite enlevé son jean, histoire de se mettre à
l’aise, je lui ai dit qu’elle pouvait continuer, elle a enlevé aussi sa petite
culotte, bordel de dieu, ce cul !, elle avait un cul comme un billet de
cinq cents euros, on sait que ça existe mais on n’en a jamais ni vu ni
palpé ! J’avais jamais vu un cul comme le sien, ou alors ça faisait
longtemps, et j’avais oublié, un cul rondouillard, lisse, parfaitement dessiné,
harmonieux, un truc à mettre au Louvre, une véritable oeuvre d’art, un cul
bandant, quoi ! J’avais d’ailleurs une de ces gaules ! Je l’ai foutue
à poil, lui ai léché le nombril, elle a sorti une capote de son sac à main et après l'imposition du latex,
j’ai commencé à remuer en elle. Et merde ! J’arrivais à rien, j’avais trop
bu et en plus elle arrêtait pas de me toucher la queue pour vérifier que la
capote était toujours en place. Une misérable éjaculation. Je l’ai terminée à
la main, au majeur. Elle était contente. On se reverrait.
Trois jours plus tard, elle
me téléphone de sa voix enjouée, une voix rondouillarde et lisse, comme son
cul. Oui, ce soir, si tu veux. Elle portait le même jean que la première fois, un
jean à la ceinture basse qui laissait dépasser sa petite culotte, un string
bleu avec rosettes sur les côtés et un débardeur au-dessus du nombril. Je suis
un sentimental, je l’ai déjà dit, je me suis mis à genoux et lui ai léché le
nombril. Bonjour, comment ça va ? Elle était pas pressée. D’ac’, un
Cointreau ananas. Quand elle a sonné, j’étais en train d’écouter La Passion selon St Matthieu de
Bach :
- J’aime pas trop la musique
classique.
- Ça ? C’est pas de la
musique classique ! C’est Bach.
- Qui ?
- Jean-Sébastien Bach.
- Connais pas.
Elle voulait parler, qu’on
apprenne à se connaître, on aurait pu se limiter à baiser, mais non, elle
voulait parler, d’ac’, on cause ! Sa mère puéricultrice, son père
restaurateur, ses copines, surtout une, Dhuoda, avec qui elle partageait tout,
enfin presque : Y a des trucs qui sont quand même trop intimes. Par
exemple ? La sexualité ! C’est bizarre, moi j’avais toujours pensé
que les femmes, entre elles, parlaient surtout de sexe, critiquaient les hommes
et ce genre de conneries qui les occupe des heures durant.
- L’autre jour, avec Dhuoda,
on a discuté pendant deux heures de la fidélité.
- Et t’en penses quoi, toi,
de la fidélité ?
- Moi, je crois que je
pourrais facilement pardonner l’infidélité, mais quand on aime et qu’on est
aimé, il ne devrait pas y avoir de place pour l’infidélité. L’infidélité, c’est
comme un besoin qu’on ressent pour combler un manque. Quand il y a fidélité,
c’est qu’il y a amour, et satisfaction.
- Ouais, et encore ?
- Si l’homme que j’aime est
infidèle, je souffrirai.
- Et si t’en sais
rien ?
- Les hommes sont un peu
bêtes, ils laissent toujours traîner quelque chose, un bout de papier, une
photo, les odeurs aussi, sur les vêtements.
- Que les hommes soient en
général plutôt cons, ça ne fait aucun doute, mais si tu tombes sur un qui prend
toutes les dispositions pour que t’en saches rien...
- S’il m’aime ?
- Si tu veux, s’il t’aime.
Tu crois qu’une petite baise remettrait en cause l’amour dont tu parles ?
- Pourquoi irait-il chercher
à l’extérieur ce que je peux lui donner ?
- Tu crois pas qu’on peut
avoir envie et même besoin, de temps en temps, de se payer un petit frisson, de
toucher une autre peau, de sentir autrement, ne serait-ce que pour se
convaincre que, chez soi, c’est pas si mal que ça ?
- Et l’amour
là-dedans ?
- Mais ça n’a rien à voir.
- Si !
- Pourquoi ?
- Mais parce que l’amour,
c’est la seule chose qui vaille la peine, sans amour le monde ne pourrait pas
exister, un monde sans amour, non mais t’imagines ?
- Un monde sans amour ?
Mais c’est quoi notre monde ?
- Moi, si je n’aime pas, je
ne peux rien faire.
- Et avec moi, c’est quoi
alors ?
- Mais je t’aime !
Et merde ! Encore une
qui peut pas vivre sans aimer, et il faut que ça tombe sur moi ! Quelle
manie à la fin ! Elle pourrait pas simplement enlever son jean, me laisser
lui lécher le nombril, la limer et la finir à l’index ou au majeur ! Non,
encore des histoires de sentiments, je t’aime, je t’aime... Elle m’aime ? Mais
elle me connaît à peine, je l’ai baisée deux fois et elle m’aime ?
Décidément trop conne !
- Et ça veut dire quoi Je
t’aime ?
- Que je me sens bien avec
toi.
Voilà qui me rassurait un
peu. Elle m’aimait comme on aime un animal de compagnie, on le caresse, on se
laisse caresser par lui, on accepte qu’il miaule ou aboie un peu et on lui fait
une petite place au bout du lit. Je l’ai prise dans mes bras, lui ai passé une
main sur le front pendant que l’autre lui malaxait les fesses, putain ce
cul !, elle était contente, elle fermait les yeux, je lui ai sucé un peu
la pointe des nichons, un peu petits, quand même !, elle soupirait, son
corps se tendait, tout marchait au poil lorsque, à cause de je ne sais quelle
idée saugrenue, je me suis entendu lui dire : Moi aussi, tu sais, je
t’aime ! Au même moment, le téléphone sonnait.
- Monluc ?
- Ouais, c’est moi.
- C’est Belami. C’est pour
quand l’article ?
- Je suis occupé, on
s’appelle demain, d’ac’ ?
- Non ! Ça fait une
semaine que j’attends, mais qu’est-ce que tu fous ?
- Justement, c’est ce que je
m’apprêtais à faire !
- Quoi ?
- À foutre. Alors, viens pas
me faire chier, pas maintenant !
- C’est pour quand ton
article, bon sang ?
Manifestement, Belami ne me
foutrait pas la paix tant que je lui aurais pas dit quand j’allais lui donner
mon d’article ! Bon, fallait que je laisse en plan ma beauté callipyge et
que je reprenne un peu mes esprits qui étaient assez éloignés des histoires de
concentrations de Harley-Davidson sur lesquelles je bossais depuis dix jours
afin de pondre ce putain d’article pour cette putain de revue.
- Bouge pas, je reviens dans
un instant.
Les quelques mètres qui
séparaient le salon de mon bureau ont
été suffisants pour que je débande. Et merde, ça avait pourtant bien
commencé ! Où j’en étais de cet article au fait ? J’avais, à vrai
dire, pas grand chose, j’étais allé voir ces connards de barbus et chevelus le
week-end dernier, ils se bourraient à la bière, discutaient de tatouages, de
motos et de gonzesses. Y avait rien d’autre à en tirer et il fallait qu’avec ça
je ponde huit pages qui accrochent le
lecteur ! Tout à coup, l’illumination !
- Attends un peu, je crois
que je tiens quelque chose, on va créer une petite rubrique qui va s’appeler C’est quoi l’amour ?.
- Tu déconnes ou quoi ?
- Mais non, je t’assure.
- Allez, arrête un peu, tout
le monde a fait ça, ça n’intéresse plus personne.
- Plus personne ?
- Mais non, voyons. Tu es
encore ivre ?
- On m’aime, figure-toi, et
elle a un cul !
- C’est ce que je disais, tu
es encore plus dingue que je ne le pensais.
- Bon, alors, on fait
quoi ?
- Mais qu’est-ce que tu veux
dire qui n’ait déjà été mille fois répété, à toutes les sauces, en noir et
blanc et en couleurs ?
- Si tu me laissais parler
un peu !
- D’accord, je t’écoute.
- Voilà, la question n’est
pas de faire une série d’études psychologiques sur les femmes, mais plutôt de
les laisser parler, de les décrire dans leur milieu naturel...
- De l’anthropologie, non,
non et non !
- Tu me laisses t’expliquer
ou pas ?
- Allez, vas-y, continue.
- Exposer des situations,
relever des détails, entrer dans l’humain par ce qu’il montre de lui-même...
- C’est pas très malin ça,
et puis, tout le monde fait ça !
- Mais non, et si tu
continues à m’emmerder, t’en sauras pas plus !
- Ça ne serait sans doute
pas plus mal et tu pourrais peut-être te concentrer un peu sur l’article que tu
m’as promis !
- Écoute, ce sont des femmes
qui disent aimer ou qui veulent aimer, mais chacune a sa manière de considérer
l’amour : pour l’une, c’est se sentir bien avec l’autre personne, pour
cette autre, c’est seulement baiser, pour celle-là, c’est protéger ou sauver
l’autre, ou encore se bourrer la gueule avec lui, et tout ça, c’est de
l’amour ! Pas mal, non ?
- Bof. Euh... D’accord, on
essaie ça, mais tu me donnes quand même ton article sur les Harley.
Et merde ! Je suis
retourné dans le salon, elle avait pas bougé, elle feuilletait la revue pour
laquelle je devais écrire l’article sur les concentrations de Harley-Davidson.
- Dis donc, c’est ton nom
là, Charles Monluc ?
- Ouais, c’est moi.
- Il est chouette ton
article sur le tourisme sexuel !
- Tu trouves ?
- T’écris vachement
bien ! Je comprends pas tout, mais t’écris vachement bien !
- Mouais.
Et maintenant, quoi !
Tout était à refaire...
- Tu me ressers un Cointreau
ananas ?
- D’ac’.
Elle lisait, elle buvait,
elle fumait. Et alors, c’est quand qu’on baise ? Ça faisait quelques mois que
je m’étais pas tapé une jeunette. La dernière était une stagiaire qui bossait
pendant l’été pour la revue de Belami, dix-huit ans, pas plus de nichons que
celle qui occupait pour le moment mon canapé, le reste était plutôt pas mal.
Elle était pas du tout clitoridienne mais fallait s’accrocher parce qu’elle
était assez lente à la détente, mais quand c’était parti c’était parti, avec
étincelles et orchestre symphonique, et puis elle causait : T’entends le
bruit que fait ma chatte ?, ouais, j’entendais, et j’en remettais un coup,
plusieurs même ! Je me souviens, un soir, je l’avais sodomisée dans les
chiottes d’une salle de spectacle. Elle était gentille. On pouvait la réveiller
à n’importe quelle heure de la nuit, juste pour une petite envie, elle se
laissait faire. Pas méchante, la môme, plutôt gentille ! Alors, j’avais
même décidé de l’emmener en vacances. On était partis du côté de Bordeaux, un
type que j’avais connu en Belgique m’avait invité à venir passer quelques jours
dans une maison qu’il avait louée en pleine cambrousse, un trou perdu, pas un
troquet à dix bornes à la ronde, les oiseaux, les moustiques, les beuglements,
c’était gentillet, gentillet et mortel. Mais bon, c’était pour le prétexte, ma
femme (j’étais encore marié à ce moment-là) n’avait rien dit. Alors, la
jeunette, elle était venue avec moi. On passait la journée à baiser, et le
copain commençait à en avoir marre. Le soir, il dormait pour être en forme le
lendemain matin afin de faire ses quarante kilomètres à vélo, en pleine
chaleur, faut être timbré !, alors on lui piquait ses clés de bagnole et
on allait s’envoyer trois ou quatre Cointreau dans des discothèques miteuses.
Elle aimait danser, elle dansait. On buvait sec, et après, on baisait, parfois
même dans la voiture. Un après-midi, je lui ai dit que j’allais la prendre en
photo et qu’il fallait qu’elle se foute à poil. Elle a un peu rechigné mais
elle s’est quand même retrouvée pattes écartées, dans l’herbe, avec entre les
jambes une carte postale représentant la Joconde en train de se branler. La
photo était réussie, mais il avait fallu que je la laisse traîner et que ma
femme la trouve ! Quel con ! Bon, on en était où ?
- J’ai envie de te croquer
l’oignon.
- Quoi ? Qu’est-ce que
tu dis ?
- Allez, je sais que toi
aussi t’attends que ça ?
- Et qu’est-ce que
j’attends, à ton avis ?
- Que je te bouffe la
pelouse.
- Pourquoi tu as besoin
d’être vulgaire comme ça ?
- C’est pas de la vulgarité,
c’est de la poésie, je suis sûr que ça t’excite !
- Je t’aime, mais t’es
parfois un peu con.
- Allez, enlève ton jean.
- Non, pas maintenant.
- T’es venue pour quoi,
alors ?
- Mais pour te voir !
- Ça y est, tu m’as vu,
maintenant enlève ton pantalon, fais pas chier.
- On peut pas parler encore
un peu ?
- Si, mais après.
Ma queue s’était redressée
dans mon slip, il fallait impérativement que je la libère, ce que j’ai fait, je
l’ai approchée de ses lèvres qu’elle a entrouvertes, putain, y a pas à dire, y
a des trucs dans la vie ! Allez, continue comme ça, après, tu l’auras ton petit
cadeau ! que je me disais. J’ai voulu faire un soixante-huit plus un, mais
elle préférait pas, tant pis pour elle, elle a sorti une capote de son sac à
main, me l’a enfilé avec une évidente habilité, ah, la jeunesse n’est plus ce
qu’elle était, et c’est tant mieux !, et elle a dirigé ma queue vers
l’entrée de sa chatte, sa petite chatte chaude et humide, sa petite chatte
comme un fourreau à queues, tout neuf, j’ai déchargé un peu rapidement, c’était
pas grave, je me suis mis à lui lécher le bouton, elle aimait vraiment ça
l’isalope, elle a joui comme ça, même pas besoin d’y aller avec le doigt, enfin
si, quand même !, parce qu’au même moment où je lui suçais la perle, je
lui fouillais la chatte avec un doigt et le trou du cul avec un autre. Elle est
restée tranquille à peine cinq minutes, elle s’est relevée d’un seul coup et
m’a dit : Allez, à la prochaine, j’ai rendez-vous avec Dhuoda, on se
téléphone ! D’ac’, baby, on se téléphone.
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