mardi 1 mai 2012

Chap. 1 - Où Monluc se met en branle.


 


            Putain ! Elle avait un cul, enfin une chatte, une petite chatte, de celles qu’ont jamais vu sortir de marmot, mais qu’est-ce qu’elle était conne !, un puits de connerie rempli d’un vide sans fond d’ignorance, mais elle baisait, ah ça oui !, comme elle baisait !, enfin, manière de dire, c’était une clitoridienne lente, très très lente, une demi-heure à lui trifouiller le bouton pour qu’elle arrive à pousser deux ou trois Ah !, qu’elle resserre les jambes et puis, c’était fini ! Patience, patience, camarade ! que je me disais. Bon, quand même, elle taillait les pipes à merveille, une bouche douce, soyeuse, curieusement accueillante, curieusement parce qu’elle l’avait plutôt petite, des lèvres minces, et puis une fois dedans, l’espace, le confort, quoi !, bien chaud, bien humide, je préférais presque ça à sa petite chatte. Avec elle, ça pouvait durer et durer, et puis on avait beau se démener, à la fin, fallait toujours se mettre à lui trifouiller le bouton ! Les seins aussi, petits, très très petits, elle portait des soutiens-gorge renforcés, un petit complexe relativement je sais pas trop quoi, et puis, rien à cirer !, je lui avais même écrit que ses seins avaient la forme de mes paumes, faut être con parfois ! Bon, je m’en foutais et je la foutais ! Elle connaissait rien à rien, côté cul, pas trop non plus. Un jour où je m’emmerdais à lui trifouiller le bouton, je lui ai fiché un doigt dans le cul, elle était aux anges, elle en redemandait, j’ai enfoncé un peu plus, ça lui plaisait, je suis descendu pour lui bouffer la motte et j’en ai profité pour passer de la chatte au cul, elle aimait ça l’isalope, elle en redemandait, moi ça m’excitait en diable, j’ai continué, elle a joui et après, comme pour me remercier, elle s’est mise à me sucer, elle y allait un peu fort, mais bon, y a des occasions comme ça où rien se refuse !, j’ai amidonné sa collection de quenottes. Au bout de quelques secondes elle est partie aux chiottes, elle a été cracher la purée, un instant après elle revenait, plus douce qu’une putain de peau de pêche, tout contre moi, et merde !, j’avais chaud, elle avait joui, non ?, qu’elle me foute la paix ! Une clitoridienne lente, ouais, c’est un peu médical comme description, non ?, mais c’est vrai quoi, elle tardait à jouir, et ce qu’elle aimait, c’était ça, bouche ou doigt, qu’on lui titille le clito ! Franchement, moi, ça me dérangeait pas trop, mais putain de bordel !, il lui en fallait du temps !



            À cette époque-là, j’avais quarante-quatre ans, Hildegarde en avait vingt-et-un. Je l’avais rencontrée chez des hurluberlus qui, une fois par an, organisaient une soirée où ils réunissaient les amis de leurs deux enfants et les leur. Ils disaient que tout le monde devrait en faire autant car rien de tel pour que les générations puissent communiquer. Communiquer? Tu parles ! Les deux clans ne buvaient, ne mangeaient, n’écoutaient pas les mêmes choses, ils se croisaient, se regardaient en coin, les vieux tentaient l’approche, histoire de marquer la chose par une petite dose d’amabilité : Et toi, tu étudies ou tu travailles ? Et plus tard, tu veux faire quoi ? Génial. On s’emmerdait sec. Et puis, je l’ai vue... Elle était un peu à l’écart, comme moi elle semblait s’emmerder, je me suis approché : On s’emmerde, hein ? Elle m’a regardé comme si j’étais une putain de curiosité de foire, alors elle m’a lancé : Tu étudies ou tu travailles ? On s’est marrés, je suis allé lui chercher un Cointreau ananas et lui ai dit que j’habitais pas loin. D’ac’, on y va ! qu’elle a dit.



            Y avait déjà une femme dans ma vie, Hrosvitha, une espèce de brute épaisse que j’avais eue, un soir de solitude arrosée et qui n’avait rien trouvé de mieux que de se mettre à m’aimer ! Ouais, aussi sec, tomber amoureuse, tomber vraiment, dans l’abattement, la dépression, elle s’était même mise à évoquer le suicide, elle avait même essayé : hôpital, injures de ses copines, pathétique, conneries et compagnie. Elle avait un gros cul, des grosses cuisses, des gros seins, des gros bras, une grande chatte, pas trop de poils (un cancer deux ou trois ans auparavant). Quand elle montait sur moi et qu’elle commençait à se tortiller, elle m’étouffait presque, par derrière c’était mieux, sa bouche aussi, pour ça elle était championne, elle connaissait son affaire, et elle avalait tout, et le jour où elle a accepté de se laisser sodomiser, pas mal non plus ! Elle disait : On m’a jamais fait ça ! Et moi : Allez, tais-toi et jouis ! Elle m’aimait, la conne ! Moi, rien que de la voir, j’avais envie de gerber, mais je continuais à aller chez elle, pour la conversation et la pipe. Elle était loin d’être conne, elle connaissait la vie quoi ! Avec elle pas besoin de s’emmerder avec les préambules, dans le vif du sujet, direct, et puis, c’était une clitoridienne rapide.


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Je suis un sentimental, c’est presque plus fort que moi, avant d’enfourcher une femme, il faut absolument que je lui lèche le nombril ! Quand je suis arrivé chez moi avec Hildegarde, elle a tout de suite enlevé son jean, histoire de se mettre à l’aise, je lui ai dit qu’elle pouvait continuer, elle a enlevé aussi sa petite culotte, bordel de dieu, ce cul !, elle avait un cul comme un billet de cinq cents euros, on sait que ça existe mais on n’en a jamais ni vu ni palpé ! J’avais jamais vu un cul comme le sien, ou alors ça faisait longtemps, et j’avais oublié, un cul rondouillard, lisse, parfaitement dessiné, harmonieux, un truc à mettre au Louvre, une véritable oeuvre d’art, un cul bandant, quoi ! J’avais d’ailleurs une de ces gaules ! Je l’ai foutue à poil, lui ai léché le nombril, elle a sorti une capote de son sac à main et après l'imposition du latex, j’ai commencé à remuer en elle. Et merde ! J’arrivais à rien, j’avais trop bu et en plus elle arrêtait pas de me toucher la queue pour vérifier que la capote était toujours en place. Une misérable éjaculation. Je l’ai terminée à la main, au majeur. Elle était contente. On se reverrait.



Trois jours plus tard, elle me téléphone de sa voix enjouée, une voix rondouillarde et lisse, comme son cul. Oui, ce soir, si tu veux. Elle portait le même jean que la première fois, un jean à la ceinture basse qui laissait dépasser sa petite culotte, un string bleu avec rosettes sur les côtés et un débardeur au-dessus du nombril. Je suis un sentimental, je l’ai déjà dit, je me suis mis à genoux et lui ai léché le nombril. Bonjour, comment ça va ? Elle était pas pressée. D’ac’, un Cointreau ananas. Quand elle a sonné, j’étais en train d’écouter La Passion selon St Matthieu de Bach :



- J’aime pas trop la musique classique.

- Ça ? C’est pas de la musique classique ! C’est Bach.

- Qui ?

- Jean-Sébastien Bach.

- Connais pas.



Elle voulait parler, qu’on apprenne à se connaître, on aurait pu se limiter à baiser, mais non, elle voulait parler, d’ac’, on cause ! Sa mère puéricultrice, son père restaurateur, ses copines, surtout une, Dhuoda, avec qui elle partageait tout, enfin presque : Y a des trucs qui sont quand même trop intimes. Par exemple ? La sexualité ! C’est bizarre, moi j’avais toujours pensé que les femmes, entre elles, parlaient surtout de sexe, critiquaient les hommes et ce genre de conneries qui les occupe des heures durant.



- L’autre jour, avec Dhuoda, on a discuté pendant deux heures de la fidélité.

- Et t’en penses quoi, toi, de la fidélité ?

- Moi, je crois que je pourrais facilement pardonner l’infidélité, mais quand on aime et qu’on est aimé, il ne devrait pas y avoir de place pour l’infidélité. L’infidélité, c’est comme un besoin qu’on ressent pour combler un manque. Quand il y a fidélité, c’est qu’il y a amour, et satisfaction.

- Ouais, et encore ?

- Si l’homme que j’aime est infidèle, je souffrirai.

- Et si t’en sais rien ?

- Les hommes sont un peu bêtes, ils laissent toujours traîner quelque chose, un bout de papier, une photo, les odeurs aussi, sur les vêtements.

- Que les hommes soient en général plutôt cons, ça ne fait aucun doute, mais si tu tombes sur un qui prend toutes les dispositions pour que t’en saches rien...

- S’il m’aime ?

- Si tu veux, s’il t’aime. Tu crois qu’une petite baise remettrait en cause l’amour dont tu parles ?

- Pourquoi irait-il chercher à l’extérieur ce que je peux lui donner ?

- Tu crois pas qu’on peut avoir envie et même besoin, de temps en temps, de se payer un petit frisson, de toucher une autre peau, de sentir autrement, ne serait-ce que pour se convaincre que, chez soi, c’est pas si mal que ça ?

- Et l’amour là-dedans ?

- Mais ça n’a rien à voir.

- Si !

- Pourquoi ?

- Mais parce que l’amour, c’est la seule chose qui vaille la peine, sans amour le monde ne pourrait pas exister, un monde sans amour, non mais t’imagines ?

- Un monde sans amour ? Mais c’est quoi notre monde ?

- Moi, si je n’aime pas, je ne peux rien faire.

- Et avec moi, c’est quoi alors ?

- Mais je t’aime !



Et merde ! Encore une qui peut pas vivre sans aimer, et il faut que ça tombe sur moi ! Quelle manie à la fin ! Elle pourrait pas simplement enlever son jean, me laisser lui lécher le nombril, la limer et la finir à l’index ou au majeur ! Non, encore des histoires de sentiments, je t’aime, je t’aime... Elle m’aime ? Mais elle me connaît à peine, je l’ai baisée deux fois et elle m’aime ? Décidément trop conne !



- Et ça veut dire quoi Je t’aime ?

- Que je me sens bien avec toi.



Voilà qui me rassurait un peu. Elle m’aimait comme on aime un animal de compagnie, on le caresse, on se laisse caresser par lui, on accepte qu’il miaule ou aboie un peu et on lui fait une petite place au bout du lit. Je l’ai prise dans mes bras, lui ai passé une main sur le front pendant que l’autre lui malaxait les fesses, putain ce cul !, elle était contente, elle fermait les yeux, je lui ai sucé un peu la pointe des nichons, un peu petits, quand même !, elle soupirait, son corps se tendait, tout marchait au poil lorsque, à cause de je ne sais quelle idée saugrenue, je me suis entendu lui dire : Moi aussi, tu sais, je t’aime ! Au même moment, le téléphone sonnait.



- Monluc ?

- Ouais, c’est moi.

- C’est Belami. C’est pour quand l’article ?

- Je suis occupé, on s’appelle demain, d’ac’ ?

- Non ! Ça fait une semaine que j’attends, mais qu’est-ce que tu fous ?

- Justement, c’est ce que je m’apprêtais à faire !

- Quoi ?

- À foutre. Alors, viens pas me faire chier, pas maintenant !

- C’est pour quand ton article, bon sang ?



Manifestement, Belami ne me foutrait pas la paix tant que je lui aurais pas dit quand j’allais lui donner mon d’article ! Bon, fallait que je laisse en plan ma beauté callipyge et que je reprenne un peu mes esprits qui étaient assez éloignés des histoires de concentrations de Harley-Davidson sur lesquelles je bossais depuis dix jours afin de pondre ce putain d’article pour cette putain de revue.



- Bouge pas, je reviens dans un instant.



Les quelques mètres qui séparaient le salon de mon bureau  ont été suffisants pour que je débande. Et merde, ça avait pourtant bien commencé ! Où j’en étais de cet article au fait ? J’avais, à vrai dire, pas grand chose, j’étais allé voir ces connards de barbus et chevelus le week-end dernier, ils se bourraient à la bière, discutaient de tatouages, de motos et de gonzesses. Y avait rien d’autre à en tirer et il fallait qu’avec ça je ponde huit pages qui accrochent le lecteur ! Tout à coup, l’illumination !



- Attends un peu, je crois que je tiens quelque chose, on va créer une petite rubrique qui va s’appeler C’est quoi l’amour ?. 

- Tu déconnes ou quoi ?

- Mais non, je t’assure.

- Allez, arrête un peu, tout le monde a fait ça, ça n’intéresse plus personne.

- Plus personne ?

- Mais non, voyons. Tu es encore ivre ?

- On m’aime, figure-toi, et elle a un cul !

- C’est ce que je disais, tu es encore plus dingue que je ne le pensais.

- Bon, alors, on fait quoi ?

- Mais qu’est-ce que tu veux dire qui n’ait déjà été mille fois répété, à toutes les sauces, en noir et blanc et en couleurs ?

- Si tu me laissais parler un peu !

- D’accord, je t’écoute.

- Voilà, la question n’est pas de faire une série d’études psychologiques sur les femmes, mais plutôt de les laisser parler, de les décrire dans leur milieu naturel...

- De l’anthropologie, non, non et non !

- Tu me laisses t’expliquer ou pas ?

- Allez, vas-y, continue.

- Exposer des situations, relever des détails, entrer dans l’humain par ce qu’il montre de lui-même...

- C’est pas très malin ça, et puis, tout le monde fait ça !

- Mais non, et si tu continues à m’emmerder, t’en sauras pas plus !

- Ça ne serait sans doute pas plus mal et tu pourrais peut-être te concentrer un peu sur l’article que tu m’as promis !

- Écoute, ce sont des femmes qui disent aimer ou qui veulent aimer, mais chacune a sa manière de considérer l’amour : pour l’une, c’est se sentir bien avec l’autre personne, pour cette autre, c’est seulement baiser, pour celle-là, c’est protéger ou sauver l’autre, ou encore se bourrer la gueule avec lui, et tout ça, c’est de l’amour ! Pas mal, non ?

- Bof. Euh... D’accord, on essaie ça, mais tu me donnes quand même ton article sur les Harley.



Et merde ! Je suis retourné dans le salon, elle avait pas bougé, elle feuilletait la revue pour laquelle je devais écrire l’article sur les concentrations de Harley-Davidson.



- Dis donc, c’est ton nom là, Charles Monluc ?

- Ouais, c’est moi.

- Il est chouette ton article sur le tourisme sexuel !

- Tu trouves ?

- T’écris vachement bien ! Je comprends pas tout, mais t’écris vachement bien !

- Mouais.



Et maintenant, quoi ! Tout était à refaire...



- Tu me ressers un Cointreau ananas ?

- D’ac’.



Elle lisait, elle buvait, elle fumait. Et alors, c’est quand qu’on baise ? Ça faisait quelques mois que je m’étais pas tapé une jeunette. La dernière était une stagiaire qui bossait pendant l’été pour la revue de Belami, dix-huit ans, pas plus de nichons que celle qui occupait pour le moment mon canapé, le reste était plutôt pas mal. Elle était pas du tout clitoridienne mais fallait s’accrocher parce qu’elle était assez lente à la détente, mais quand c’était parti c’était parti, avec étincelles et orchestre symphonique, et puis elle causait : T’entends le bruit que fait ma chatte ?, ouais, j’entendais, et j’en remettais un coup, plusieurs même ! Je me souviens, un soir, je l’avais sodomisée dans les chiottes d’une salle de spectacle. Elle était gentille. On pouvait la réveiller à n’importe quelle heure de la nuit, juste pour une petite envie, elle se laissait faire. Pas méchante, la môme, plutôt gentille ! Alors, j’avais même décidé de l’emmener en vacances. On était partis du côté de Bordeaux, un type que j’avais connu en Belgique m’avait invité à venir passer quelques jours dans une maison qu’il avait louée en pleine cambrousse, un trou perdu, pas un troquet à dix bornes à la ronde, les oiseaux, les moustiques, les beuglements, c’était gentillet, gentillet et mortel. Mais bon, c’était pour le prétexte, ma femme (j’étais encore marié à ce moment-là) n’avait rien dit. Alors, la jeunette, elle était venue avec moi. On passait la journée à baiser, et le copain commençait à en avoir marre. Le soir, il dormait pour être en forme le lendemain matin afin de faire ses quarante kilomètres à vélo, en pleine chaleur, faut être timbré !, alors on lui piquait ses clés de bagnole et on allait s’envoyer trois ou quatre Cointreau dans des discothèques miteuses. Elle aimait danser, elle dansait. On buvait sec, et après, on baisait, parfois même dans la voiture. Un après-midi, je lui ai dit que j’allais la prendre en photo et qu’il fallait qu’elle se foute à poil. Elle a un peu rechigné mais elle s’est quand même retrouvée pattes écartées, dans l’herbe, avec entre les jambes une carte postale représentant la Joconde en train de se branler. La photo était réussie, mais il avait fallu que je la laisse traîner et que ma femme la trouve ! Quel con ! Bon, on en était où ?



- J’ai envie de te croquer l’oignon.

- Quoi ? Qu’est-ce que tu dis ?

- Allez, je sais que toi aussi t’attends que ça ?

- Et qu’est-ce que j’attends, à ton avis ?

- Que je te bouffe la pelouse.

- Pourquoi tu as besoin d’être vulgaire comme ça ?

- C’est pas de la vulgarité, c’est de la poésie, je suis sûr que ça t’excite !

- Je t’aime, mais t’es parfois un peu con.

- Allez, enlève ton jean.

- Non, pas maintenant.

- T’es venue pour quoi, alors ?

- Mais pour te voir !

- Ça y est, tu m’as vu, maintenant enlève ton pantalon, fais pas chier.

- On peut pas parler encore un peu ?

- Si, mais après.



Ma queue s’était redressée dans mon slip, il fallait impérativement que je la libère, ce que j’ai fait, je l’ai approchée de ses lèvres qu’elle a entrouvertes, putain, y a pas à dire, y a des trucs dans la vie ! Allez, continue comme ça, après, tu l’auras ton petit cadeau ! que je me disais. J’ai voulu faire un soixante-huit plus un, mais elle préférait pas, tant pis pour elle, elle a sorti une capote de son sac à main, me l’a enfilé avec une évidente habilité, ah, la jeunesse n’est plus ce qu’elle était, et c’est tant mieux !, et elle a dirigé ma queue vers l’entrée de sa chatte, sa petite chatte chaude et humide, sa petite chatte comme un fourreau à queues, tout neuf, j’ai déchargé un peu rapidement, c’était pas grave, je me suis mis à lui lécher le bouton, elle aimait vraiment ça l’isalope, elle a joui comme ça, même pas besoin d’y aller avec le doigt, enfin si, quand même !, parce qu’au même moment où je lui suçais la perle, je lui fouillais la chatte avec un doigt et le trou du cul avec un autre. Elle est restée tranquille à peine cinq minutes, elle s’est relevée d’un seul coup et m’a dit : Allez, à la prochaine, j’ai rendez-vous avec Dhuoda, on se téléphone ! D’ac’, baby, on se téléphone.



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